dimanche 2 décembre 2007

IL / ELLE NE PASSERA PAR MOI









- la société basée uniquement sur la consommation
- la nourriture industrielle (acide gras hydrogéné, amidon , sirop de gluco-fructose…)
- le cancer
- la consommation irresponsable
- la dépression, le désespoir, le renoncement à la vie
- le conformisme des idées, des pensées, des comportements
- la valeur travail
- le renoncement à la liberté
- la servitude volontaire
- la monétisation des RTT
- la surpopulation
- les enfants comme une obligation sociale pour financer les retraites
Nous sommes en guerre. Nous vivons dans un système, une organisation qui conduit à la destruction progressive des individus, à l’exception d’une minorité au pouvoir qui en tire profit. Destruction psychologique (abrutissement, manipulation, uniformisation des idées, conformisme), destruction physique (nourriture industrielle rentable mais toxique, environnement dégradé).
Les cancers, maladie d’alzheimer, suicides, dépressions, crises d’anxiété … ne proviennent pas du hasard. Ces maux ont une origine dont nous sommes tous responsables et complices. Nous sommes tous les co-responsables, complices, conducteurs d’une société qui nous détruit. Bonne nouvelle : nous pouvons cesser de l’être.
Résister c’est éviter de conduire, reconduire, favoriser ce qui nous détruit.

La révolution du 21ème siècle ne ressemblera pas à celle des siècles passés. Si chaque individu fait sa révolution, passe de « complice passif » à « résistant actif », le monde peut changer profondément et sans violence.

dimanche 25 novembre 2007

JOUIR ENSEMBLE

Jouir et Faire Jouir. Une invitation à une partouze généralisée ? Non (quoique...) : une philosophie, une morale, une éthique : HEDONISTE. La raison au service du plaisir, du désir. Le désir non pas comme comblement d'un manque, d'un vide mais comme excès. Trouver dans la réalisation de ses besoins (boire, manger...), des ses désirs (sexuels, sensuels, esthétiques..) une occasion de plaisir. C'est une discipline de tous les instants, c'est une attitude, un comportement qui se cultive. Trouver l'extase où elle se trouve. Partout, tout le temps, la chercher. Plaisir qui intègre la conscience de l'autre, c'est à dire la conscience de l'impact de son plaisir sur les autres. C'est parfois renoncer pour ne pas blesser. Par contre TOUT est possible dès lors qu'il y a consentement, rencontre de deux volontés. D'où l'importance d'être clair avec soi-même, avec sa volonté, son désir et l'expression de ceux-ci. Un non-dit, une incompréhension et c'est le fiasco. Une tendresse donnée à quelqu'un qui n'en veut pas c'est une violence extrême. Un coup de fouet donné à quelqu'un qui le souhaite c'est un plaisr doux. Le plaisir partagé comme une extase puissance 2.

lundi 19 novembre 2007

BIENTOT











Le saut n'est pas mort mais temporairement congelé.

Plus pour longtemps, car :
1) "Il est temps de reprendre vie" ("Cercle" de Yannick HAENEL).
2) "Ceux qui ne sont pas occupés à naître sont occupés à mourir" (Bob Dylan cité dans "Cercle")

La (re)naissance est en cours. La reprise est pour très bientôt.

dimanche 28 octobre 2007

A POIL

Nous sommes en mouvement perpétuel, le corps ne cesse de bouger. Tant qu'il y a de la vie,de la respiration, l'immobilité n'existe pas. Le mouvement cristallise tout le vécu. La violence invisible dans laquelle nous baignons marque les corps. Les micro-agressions répétées créent de la rigidité, des tensions, des blocages, des douleurs. Les satisfactions, le plaisir, les orgasmes en tout genre au contraire créent des ouvertures, des espaces de fluidité. Observer attentivement le langage du corps (les mouvements, les rigidités, la posture, la démarche, le regard...) c'est accéder directement à l'inconscient sans passer par les mots. ON EST TOUT LE TEMPS A POIL, TOTALEMENT A POIL. C'est toutes les forces et les failles d'une personne, tout ce qui va bien et qui ne va pas qui nous sautent à la gueule en permanence. Plus le corps est rigide, plus il est fragile. Plus le mouvement est stéréotypé, plus il montre de manière évidente la volonté de dissimulation - parfois inconsciente. Volonté de dissimulation illusoire puisque systématiquement vouée à l'échec. Paradoxe : la volonté de cacher une faiblesse se voit.
Encore plus intime, la voix qui vient de plus loin de plus profond révèle tout se qui se passe à l'intérieur. Pas la peine d'écouter les mots, il suffit d'écouter avec attention la qualité du son qui sort. La volonté de dissimuler s'entend, le mensonge s'entend pour qui sait écouter.
Sortir du conformisme de la pensée c'est aussi échapper au conformisme du corps. C'est à dire faire venir le mouvement de l'intérieur à partir des sensations individuelles, des particularités personnelles et pas d'images extérieures qu'on tente de reproduire. C'est être conscient au maximum de l'impact du vécu de chaque instant dans les sensations du corps. C'est se libérer au maximum des tensions inutiles. C'est aussi peut être assumer une certaine nudité.
Le corps peut évidemment se transformer et pourquoi pas essayer de le transformer si c'est pour être plus proche de ses sensations ou ressentir différemment. Mais si on y arrive pas, il vaut peut être mieux apprendre à vivre et aimer les sensations de son gros cul (ou sa petite tête) plutôt que d'essayer d'avoir un petit cul (ou une grosse tête).

- tu trouves pas que ça ressemble à "Psychologies Magazine" ce blog ?
- oui le niveau baisse, bientôt c'est télé 7 jours

dimanche 21 octobre 2007

POWER PUPPETS

Un constat terrible. Une réalité. Des inconnus, des personnes que nous ne connaissons pas, qui ne nous connaissent pas, des personnes qui ont pris ou à qui on a donné du pouvoir, décident de nos vies. Ils ne nous demandent pas notre avis. Nos vies peuvent s'améliorer ou se détériorer en fonction de leurs décisions, de leurs actions, de leur absence d'actions. De leur intelligence ou de leur bêtise; de leur conscience ou leur absence de conscience dépend l'évolution de nos vies. Nous sommes soumis à des lois écrites, officielles ou implicites. Des lois justes et injustes. Des lois liberticides et d'autres qui garantissent une liberté - toute relative. Comme si cela ne suffisait pas, des phénomènes physiques à priori aléatoires vont venir impacter le cours de nos vies (météo, tremblements de terre, réchauffement ou refroidissements). Last but not least, nous sommes la cible permanente de systèmes de manipulations destinés à influencer notre comportement sans que nous en ayons conscience (publicité, médiatisation, sur-médiatisation, non-médiatisation, pression psychologique , utilisation de mode de communication parent-enfant ...). Sommes nous pour autant réduits à l'état de pauvres marionnettes sordides ????
NON, il est possible récupérer une grande partie du pouvoir. LE POUVOIR SE PREND ICI ET MAINTENANT.
Comment ? Il n'y a pas de recettes mais quelques pistes :
A chaque instant, à chaque seconde et sans relâche se poser la question clé, "qu'est ce que je peux faire maintenant " (mais aussi "qu'est ce " je ne peux pas faire ? ") puis :
- Agir dans les marges de liberté existante (même dans les systèmes les plus totalitaires, il y a toujours de moments de respiration, des espaces-temps où la liberté est possible)
- Savoir dissocier la mise en jeu des apparences (le social) et la conscience de sa liberté
- Etre conscient de l'absence totale de valeur du jeu social, c'est juste un outils pour éviter de se désintégrer totalement (à moins de faire le choix de la marginalité radicale)
- Ne jamais respecter les règles injustifiées quand cela est possible
- Sortir de la position de victime. Etre victime c'est donner le pouvoir à l'oppresseur
- Emmerder systématiquement ceux qui essaient de prendre les décisions à notre place , être le grains de sable dans l'engrenage
- Utiliser toute son intelligence, son énergie, sa volonté pour que les tentatives de manipulation échouent systématiquement.
Evidemment ce n'est pas facile, c'est une discipline de chaque instant. Mais c'est le seul moyen d'EXISTER.

- "Mesdames et Messieurs, ma question va peut être vous surprendre...Y a-t-il quelqu'un ce soir dans cette salle qui n'existe pas ?" Joel POMMERAT Je tremble (1).

lundi 15 octobre 2007

LE DEBUT DE LA FIN

"Je n'ai rien compris". C'est le commentaire habituel à propos des films de David LYNCH mais aussi de la plupart des spectacles contemporains. Sous-entendu "Je n'ai rien compris A L'HISTOIRE". Normal. Il n'y a pas d'histoire - au sens d'une narration logique avec un début, un milieu et une fin. Alors qu'on admet depuis très longtemps l'abstrait en peinture, qu'on ne demande plus à un tableau de représenter quelque chose, il n'en est pas de même dès lors qu'on parle de littérature, de cinéma ou de théâtre. Les univers imaginés sont acceptés, une certaine déconstruction, quelques flashbacks aussi. Mais sans histoire, l'oeuvre est qualifiée de "facile", "nulle" voire "de merde". Pourtant, l'histoire limite les possibilité créatives car elle doit répondre à une certaine structure (des personnages, le passage du temps, la nécessité d'une certaine logique...). Un tableau abstrait c'est une expérience sensorielle, potentiellement une expérience émotionnelle sans rapport avec un quelconque éléments rappelant la réalité (fucking reality). Et même s'il représente une fleur, l'intérêt n'est pas la fleur. Une expérience sensorielle est sans limite, déstabilisante, les repères et les certitudes s'effondrent. Le film sans histoire ne tient sa réussite qu'à sa qualité cinématographique et pas à son scénario. C'est un outils d'exploration, D'EXPANSION de son univers mental et émotionnel. Le spectateur doit sortir de la passivité. Et dans une société ou tout à tendance à se rigidifier autour de repères étroits (ex : la" valeur travail" - si vous avez la nausée allez y vomissez, ça fait du bien), c'est aussi un moyen de se sentir encore - un peu - en vie et pas encore totalement foutu, broyé.
RACHIDA & CECILIA HAVE SEX ON THE DANCEFLOOR, WHERE ARE THE DWARFS ?

dimanche 7 octobre 2007

QUIZZ

Le sexe, ça sert à quoi ?

- à faire une carrière fulgurante
- à démarrer une carrière pas évidente
- à vendre des voitures, des parfums , de la nourriture pour chien
- à mettre des vêtements et accessoires en cuir, latex
- à s'habiller comme une pute sans se faire traiter de pute
- à rien
- à frustrer ceux qui ne veulent pas, qui ne peuvent pas
- à pousser des cris des gémissements, des halètements
- à se vider quelque chose
- à se remplir quelque chose
- à trouver Dieu
- à trouver le vide
- à rompre l'ennui
- à faire des trucs sales
- à faire un truc qui ne coûte rien et qui fait du bien
- à faire un truc qui coûte cher et qui fait rien
- à niquer le système
- à se faire niquer par le système
- à blesser, détruire
- à fusionner
- à s'amuser
- à faire les cons
- et très très rarement à faire des enfants.

SEX IS FUN, SEX IS HELL, SEX IS COMEDY, SEX IS NOTHING, SEX IS EVERYTHING
ENJOY

dimanche 30 septembre 2007

UNE MINUTE DE LUCIDITE

La guerre en Irak a tué cent fois plus d'individus que les attentats du 11 septembre.
10 secondes
Etre salarié c'est vendre son esprit, son corps et du temps de vie.
20 secondes
Le capitalisme de masse est un système basé sur l'exploitation des plus faibles.
30 secondes
Le Président Iranien dit qu'il n' y a pas d'homosexuels dans son pays.
40 secondes
Il y a en Iran une politique de purification ethnique et tout le monde s'en fout.
50 secondes
Ma vie oscille entre le sublime et le quotidien de merde sordide.
60 secondes

JE NE VEUX QUE LE SUBLIME. JE NE VEUX QUE LE SUBLIME. JE NE VEUX QUE LE SUBLIME. JE NE VEUX QUE LE SUBLIME. JE NE VEUX QUE LE SUBLIME. JE NE VEUX QUE LE SUBLIME. JE NE VEUX QUE LE SUBLIME.

mardi 25 septembre 2007

JE SUIS...

L'association AIDES est à l'origine d'une campagne d'affichage pour lutter contre la discrimination des séropositifs. Le rejet social peut en effet générer autant de souffrances et de complications que la maladie (attitude de l'entourage, du personnel médical, perte du travail, refus d'accès à un prêt immobilier...). L'idée de base : la photo-portrait d'une personnalité (artiste, sportif, présentateur tv, politique..) en noir et blanc et une question au conditionnel "est ce que vous me trouveriez aussi drôle / je serais encore au 20 heures / vous voteriez pour moi ... , si j'étais séropositif ".
Cette idée aurait dû faire une campagne percutante. Pourtant elle ne l'est pas. Elle ne se distingue pas parmi d'autres campagnes consensuelles. Elle passe à côté de sa cible.
Pourquoi ? Cest simple. La lutte contre la discrimination ne peut passer que par l'AFFIRMATION. L'AFFIRMATION c'est dire "JE SUIS" et pas "SI J'ETAIS". C'est du présent pas du conditionnel. Dire "si j'étais" de la part d'une personnalité c'est sous entendre "moi qui ne suis pas séropositif" (mais qui veut bien prêter mon image). Dès lors que la formulation exclut d'emblée la séropositivité éventuelle de la personnalité en question, la discrimination subsiste. Il y a d'un côté les personnalités non séropositives (célèbre, riche , glamour et généreuse puisqu'elles acceptent de participer), de l'autre les gens ordinaires potentiellement séropositifs.
Imaginons la même affiche avec la question suivante : "JE SUIS SEROPOSITIF. Etes vous prêt à voter pour moi ? " Peu importe le statut sérologique réel de la personnalité, dire JE SUIS SEROPOSITIF c'est une affirmation courageuse de solidarité. Il n'y a plus de distinction. Tout le monde peut être séropositif, même Nicolas SARKOZY, même Claire CHAZAL, même Fréderic MICHALAK....Cela interroge et dérange le lecteur. Il y a nécessairement une projection. Evidemment, si le message avait été formulé de cette manière, combien personnalités auraient elles accepter de participer ?
JE SUIS SEROPOSITIF, VOUS CONTINUEZ A LIRE MON BLOG ?

dimanche 16 septembre 2007

RAIE ALITEE

Le seul lieu de la vraie liberté c'est la pensée, l'imagination. Tout est y est possible. Tout doit y être possible. Contrairement aux actes, aucune pensée n'est condamnable. Personne, rien ne peut interdire de penser. Je peux TOUT imaginer, je peux TOUT penser. Aucun interdit, aucune censure, aucune limite. L'imagination est certes dangereuse, elle peut gravement déformer les perceptions, créer de la souffrance MAIS trop de "réel" peut tuer la capacité à penser par soi-même. Développer SES idées, SES images, SES expressions indépendamment de toute influence ou manipulation non choisie, c'est EXISTER. Au nom de la réalité, on essaie de nous faire penser que le changement n'est pas possible. (La "valeur travail", faire des enfants pour financer les retraites, les explications psychologiques, la compétition indispensable à la performance...). Résister au principe de réalité c'est affirmer son individualité, c'est OUVRIR LES POSSIBLES. c'est créer d'autres façons de vivre. C'est donc évidemment une responsabilité immense que d'exprimer une idée. Si la pensée est sans limite, l'expression des idées implique une responsabilité, une conscience, il y a un impact sur la collectivité. Mais c'est un moyen de faire changer, évoluer ce que qu'on nous présente comme impossible à changer au nom de la réalité.
CE N'EST PAS PARCE QUE QUELQUE CHOSE N'EXISTE PAS DANS LA "REALITE" QUE CELA N'EST PAS POSSIBLE

lundi 10 septembre 2007

LA VIE DES ANIMAUX

Des HOMMES gonflables - des FEMMES gonflées / Des FEMMES plates - des HOMMES à forte poitrine. / Des HOMMES anorgasmiques - des FEMMES qui bandent pas / Des FEMMES qui rotent - des HOMMES choqués / Des HOMMES de ménage - des FEMMES à tout faire / Des FEMMES actives - des HOMMES passifs / Des HOMMES démembrés - des FEMMES bien membrées / Des FEMMES lourdes - des HOMMES sensuels / Des HOMMES esthéticiens - des FEMMES plombiers / Des FEMMES à barbe - des HOMMES imberbes / Des HOMMES soumis - Des FEMMES maitresses

HOMMES clichés / FEMMES clichés = PENSEE AMORPHE.
Sculpter son identité, c'est DECONSTRUIRE TOUS LES CLICHES, EVITER DE PENSER COMME UNE MEDUSE.

- "vous êtes un homme tapez 1, une femme tapez 2" (smiling voice)
- j'ai tapé 3, je me suis fait éjecter

jeudi 6 septembre 2007

REUSSITE A LA FRANCAISE (partie 2 : “La France qui se lève tard”)

Dans son numéro du mois d’août, la revue "Capital" consacre un dossier à “La France qui réussit” . Un article est relatif à l’”Art”. La réussite de certains artistes français (auteurs, chorégraphes, groupes musicaux…) et de leur production est mesurée par des chiffres : nombres de spectateurs, nombre de traductions, nombre de disques vendus. Evidemment rien à voir avec des critères artistiques. Mais comment peut on évaluer la réussite d’une oeuvre d’art ? A mon sens il n’y a qu’UN SEUL critère : la capacité d’une oeuvre à modifier la vie de celui qui entre en contact avec elle ( spectateur, lecteur, visiteur..). Modifier la vie c’est à dire CAPACITE A BOULEVERSER, A LAISSER UNE TRACE DANS L'ESPRIT ET LE CORPS (une idée, une impression persistante, une émotion, une perception). S’il n’y a pas bouleversement l’oeuvre est ratée ou il s’agit de divertissement Le divertissement ne change rien. L’esprit est mis en diversion le temps d’un moment pour revenir à son point de départ. Face à une oeuvre d’art réussie, l’esprit prend un autre chemin, il ne revient jamais au point de départ. Parfois, c’est au spectateur, au lecteur de faire le travail de lecture, de vision, de compréhension pour que le bouleversement ait lieu. Il y a parfois une grille de lecture, un mode d’emploi. On peut aussi passer totalement à côté. Peu importe. Dès lors qu’au moins une seule personne est bouleversée l’oeuvre d'art est une RÉUSSITE TOTALE.

mercredi 5 septembre 2007

EN ECLATS

La TRADITION veut que l'amour, la sexualité, la procréation soit nécessairement liés.
"Je vis avec la personne que j'aime. Je baise avec la personne que j'aime donc celle avec qui je vis (ou inversement). Je fais des enfants avec la personne avec qui que je baise donc celle que j'aime et avec qui je vis (ou inversement). "


POURTANT, il est tout à fait possible - et même assez courant - de :

- baiser sans aimer
- s'aimer sans procréer
- s'aimer sans vivre ensemble
- procréer sans baiser
- procréer sans aimer
- et même s'aimer sans baiser.

Tous les modes de vie sont possibles, toutes les possibilités sont ouvertes. Chacun peut inventer le mode de vie qui lui convient (y compris se ré approprier le mode traditionnel), A CONDITION BIEN SUR DE S'AFFRANCHIR - ENCORE UNE FOIS -DE LA PENSÉE TRADITIONNELLE .

- je t'aime ... on baise ?
- ha non c'est trop traditionnel

lundi 3 septembre 2007

PLUS

PLUS de performance, PLUS de croissance, PLUS d'excellence, PLUS d'efficacité, PLUS de résultats, PLUS de compétitivité, PLUS de qualité, PLUS de travail, PLUS de combattivité, PLUS de persuasion, PLUS de pression, PLUS d'agressivité...

PLUS PROCHE DE LA MORT.

- c'était comment ton accident cérébral ?
- génial j'ai eu 2 semaines de vacances en plus

samedi 25 août 2007

L'AIR DE RIEN

L’air de rien, les germes des idéologies de haine sont en nous ou autour de nous aujourd’hui et maintenant. Alors prenons garde à ne pas être complices de ces idées nauséabondes. Exerçons concrètement le devoir de mémoire afin que ce qui pourrait ressembler de prêt ou de loin à la Shoa ne se reproduise JAMAIS. La haine à l’état de germe a l’air bien inoffensive, et pourtant tous les mouvements de destruction (nazisme, intégrismes, purifications ethniques) ont pris racines dans la propagation d’idées partagées par le plus grand nombre. A quoi ressemblent ces germes :

- à certaines formes d’humour.
Dans le fond : on se moque de catégories d’humains non pas pour ce qu’ils FONT OU DISENT MAIS pour ce qu’ils SONT. C’est de l’identité profonde dont on se moque pas des actes. C’est une différence subtile mais essentielle.
Dans la forme : lourdeur, on appuie sur ce qui fait mal, ce qui peut être humiliant (“t'imagines si les contes pour enfants se terminaient par "ils s'enculèrent et eurent beaucoup d'enfants" Jean-Marie BIGARD) (le nez crochu” objet de tant de caricatures)
- à une tendance à généraliser, à classer par catégories (Les…)
- à une recherche du bouc émissaire (“le problème du chômage c’est les immigrés)
- à fixer un niveau maximal d’acceptation (“je n’ai rien contre les … mais quand même il n’y a que ça à la télé")
- à une tolérance à géométrie variable (ex les résistants racistes, les "féministes" lesbophobes)

Il ne s’agit finalement que de la manifestation très répandue de la BÊTISE ORDINAIRE dont tous les être humains sans exception ont été au moins une fois les colporteurs. Cette bêtise, ce MANQUE DE CONSCIENCE est à l’origine des actes les plus écœurants de l’histoire humaine. Sortir du rang c’est REFUSER, S’OPPOSER DE TOUTES LES MANIÈRES POSSIBLE A LA HAINE VERSION ”LIGHT” POUR ÉRADIQUER A LA BASE LA HAINE VERSION “HARD”

vendredi 24 août 2007

FUCK YOU ATTITUDE

Hein ? Quoi ? Une attitude, une manière d’être, une façon de penser du type :
“Je n’ai à justifier mes actes et mes choix à personne. C’est une histoire entre ma conscience et moi. Je n’ai rien à prouver à personne. Juste à moi-même si je souhaite me prouver quelque chose (indépendance). Je respecte la loi uniquement si je l’estime juste. Je mets toute ma volonté à ne pas la respecter si je l’estime injuste (résistance). Je désire. Je réalise mes désirs même s’ils sont socialement incorrects dès lors qu’ils n’entravent pas la liberté des autres (jouissance).”

Par conséquent, FUCK YOU :

- aux clichés, aux idées préconçues et non pensées (ex : la morale traditionnelle)
- à la bureaucratie imbécile
- aux haineux de toute sorte (nazis, nazillons, antisémites, homophobes…) et à tous ceux qui dans le quotidien alimentent, L’AIR DE RIEN, ces idéologies
- aux explications psychologiques préfabriquées

- tu n’a pas d’enfants parce que tu as eu une enfance difficile
- fuck you baby

jeudi 23 août 2007

UNE VERITE QUI DERANGE

Une idée plutôt Gore :

90% de ce que nous achetons se transforme à court terme en ordure ou en merde. Alors acheter ou ne pas acheter ? that is the question.

Mettre un peu de conscience dans le choix des produits qu'on achète, c'est aussi un MOYEN DE FAIRE CHANGER LE MONDE.


- je remplis un caddie par semaine et je vais aux toilettes 2 fois par jour

- j'admire vraiment ton équilibre de vie

mercredi 22 août 2007

MORT OU VIVANT ?


"Il y a des gens qui se sont installés dans une auberge pour la vie et qui se sont avortés eux-mêmes" Saint Exupéry. Choisir de vivre c'est faire UN CHOIX, c'est un acte volontaire, ce n'est pas le hasard. Un muscle qui n'est pas stimulé a tendance a s'atrophier. Il en est de même pour le désir, le plaisir, la sensation d'être en vie. C'est une discipline. C'est être intraitable avec les pulsions de mort qui nous entourent. Les pulsions de mort ? Tout ce qui en soi ou en dehors de soi amène l'empêchement, le déplaisir de vivre, la fatigue de vivre, voire l'envie d'en finir. Elles sont partout dans l'éducation, la famille, le travail, la patrie, les religions, les médias, la morale ...Quant elles sont intériorisées, elles deviennent difficile à appréhender. Choisir de vivre c'est donc consciemment identifier ses pulsions de mort (l'étape la plus difficile) et décider volontairement de les éradiquer une à une. Comment ? En FAISANT exactement l'inverse de ce qu'elles nous incite à faire.

- je crois qu'il y a un peu de boulot
- oui mais on va enfin pouvoir s'éclater

Lecture recommandée : "La Puissance d'exister" de Michel ONFRAY

vendredi 10 août 2007

DEVOIRS DE VACANCES

"LE SAUT" fait une pause.
Rendez vous fin aout pour pleins de nouvelles idées pour sortir du rang des assassins.




En attendant, je vous invite à SAUTER le plus souvent possible.
FEEL - THINK - SPEAK - ACT


jeudi 9 août 2007

MAIS ...68 ?

Il est très tendance de remettre en cause les valeurs de Mai 68. Par exemple Christine BOUTIN , Ministre de la Ville écrit sur son blog "La philosophie de mai 68 a fait de l’homme un objet, une matérialisation tandis que Nicolas Sarkozy veut remettre l’homme au cœur des décisions politiques. "(29/04/07)
Mais, 68, c'est quoi au juste ? Mai 68 c'était une révolte populaire pour plus de liberté, plus d'égalité (tiens..) et en particulier :
- la remise en question de l'exploitation du monde ouvrier
- la liberté de choisir son mode de vie (sortir du rang)
- la liberté sexuelle
- la liberté de disposer de son corps.
Remettre en cause les valeurs de Mai 68, c'est donc une opposition claire aux libertés fondamentales, dans la droite lignée des intégrismes religieux (qui était cette hystérique qui pleurait à l'Assemblée Nationale en 98 en brandissant une bible ?).

Alors soyons aussi très clair, limpide : NOUS CONTINUERONS A DISPOSER DE NOS CORPS, NOUS CONTINUERONS A BAISER COMME NOUS LE SOUHAITONS. ET SI POUR CELA IL FAUT DÉTERRER DES PAVÉS POUR LES JETER A LA GUEULE D'UNE QUELCONQUE AUTORITÉ LIBERTICIDE, NOUS LE FERONS.

- j'ai envie d'un 69
- tu veux pas plutôt qu'on appelle les voisins pour faire un 2008

mardi 7 août 2007

BONNE NOUVELLE


TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE. TOUT ce qui n'est pas interdit, EST AUTORISE.

lundi 6 août 2007

ASSASSINS SANS CONSCIENCE

La vie quotidienne des Irakiens sous la dictature de Sadam HUSSEIN était difficile. Depuis la chute du régime, elle est devenue invivable. A Bagdad, sortir de chez soi c'est mettre en jeu sa vie, c'est prendre le risque de finir mutilé dans un bain de sang. Une menace permanente qui ne laisse aucun répit. Pour les minorités religieuses ou sexuelles, c'est encore pire, ils doivent échapper à la volonté d'éradication de groupes armés à leur encontre. A tout moment, c'est la pire des souffrances qu'un être humain peut infliger à un autre être humain qui peut devenir réalité. L'enfer... sur terre, aujourd'hui, maintenant.
QUI EST REPONSABLE DE CETTE SITUATION ?
Elle n'était pas prédéterminée, elle aurait pu être évitée. Il y a certainement un enchevêtrement complexe de responsabilités MAIS si une majorité de personnes n'avait pas mis le mauvais bulletin dans l'urne, la réalité d'aujourd'hui serait différente. Ces personnes ont fait le choix de soutenir une politique qui allait conduire à une décision aberrante. Puis, pire, alors que les mensonges avaient été portés à la connaissance de tous, qu'il était désormais d'une grande clarté que cette guerre était une erreur , une monstruosité historique - pas uniquement pour les Irakiens, ils ont confirmé et validé leur choix initial.
DES MILLIONS D'ASSASSINS SANS CONSCIENCE.

Mettre un bulletin dans une urne n'est pas un geste anodin, c'est un geste lourd.

dimanche 5 août 2007

LA PAROLE LIBEREE

Il fallait jusqu'à aujourd'hui créer un compte pour faire des commentaires.
Désormais, n'importe qui peut dire, écrire n'importe quoi de façon totalement anonyme.



- T'en penses quoi toi de ce blog ?
- Celui qui écrit ça doit être un peu taré non ?

samedi 4 août 2007

REUSSITE A LA FRANCAISE (partie 1 : “La France qui se lève tôt”)


En France, en 2007, si tu veux accéder au pouvoir politique ou économique plus facilement, il vaut mieux :



1) Se lever tôt

2) Etre :

- Un homme plutôt qu’une femme
- Blanc plutôt que noir
- Valide plutôt que handicapé
- D’origine française plutôt que nord africaine
- Marié avec enfants plutôt que célibataire
- Hétérosexuel plutôt que tout autre orientation
- Homosexuel homme plutôt que lesbienne
- D’un rapport taille poids “standard” plutôt qu’obèse
- Catholique plutôt que musulman
- Avec papiers plutôt que sans papiers
- Sans signe distinctif (piercing, tatouage...) plutôt qu’avec

CONCLUSION: Si tu as les compétences MAIS que tu es une femme noire lesbienne handicapée obèse musulmane, et si tu as eu la mauvaise idée d’avoir un tatouage et un piercing, tu n’as pas la moindre chance d’accéder à un poste de député, ministre ou cadre dirigeant dans une entreprise.

Vive la république !, Vive la France !


- Bon a va essayer de vous trouver quelque chose mais vous savez ça va pas être facile, vous avez pensé à faire le trottoir ?

vendredi 3 août 2007

LE POUVOIR DES MOTS

Il y a des mots qui font rire (pine ou fesse d’huître), il y a des mots qui font peur (solution finale, purification ethnique), il y a des mots qui glacent (taillader, transpercer, cisailler, poignarder, inciser), il y a des mots qui blessent ou qui tuent (sale « …. » - voir ci-dessous), il y a des mots font pleurer (mourrant, stade final, douleur, seul)…

Les mots ne sont pas innocents, ceux qui les écrivent ou les disent non plus.

jeudi 2 août 2007

Les... (suite version HARD)

Les PUTES, les PEDES, les BOUGNOULES, les PARIGOTS, les POUFIASSES, les NEGROS, les VIOQUES, les GOUINES, les NIAQOUES, les TANTOUZES, les RACAILLES, les YOUPINS, les RATS, les MONGOLES, les PETITS NAINS, les SALOPES, les MORUES, les GROSSES VACHES, les BOUFFONS, les PISSEUSES, les DAUBEES, les CHIENNES,les POURRIS DE CUL, les FILS DE PUTE, les ENCULES, les FACES DE RAIE, les CAGOLES, les FESSES D'HUITRES, les VIEILLES GUENONS, les RALOUF, les LOPES, les MACAQUES, les VIEILLES PEAU, les PINES D'HUITRE, les SALSIFIS A PATTE, les TROUDUC...

- Tu préfères quoi toi ?
- Ho tu sais moi, je ne suis pas difficile j'aime tout

mercredi 1 août 2007

SMILING FACES


Chez CASINO (version hypermarché), il est indiqué sur le truc qu'on pose pour séparer les achats "QUELQUES INSTANTS AVANT LE PROCHAIN SOURIRE" (à prononcer avec le sourire)


Le premier jour la caissière faisait la gueule.
Le deuxième jour elle m'a montré ses dents.
Le troisième jour... ben je sais plus, en fait j'ai pas fait attention et je m'en fous un peu.

A l'hypermarché c'est quelques instants avant le..., le.......RIEN.

(Hum, j'ai la main qui me démange, j'aurais pas touché un truc pas net ? Pas sur qu'ils les désinfectent tous les soirs leurs bidules.)

LES ...

LES français, LES femmes, LES américains, LES sans domicile fixe, LES arabes, LES jeunes de banlieues, LES personnes du 3ème âge, LES handicapés, LES juifs, LES homosexuels, LES intermittents du spectacles, LES sans-papiers, LES chinois, LES célibataires, LES ménagères de moins de 50 ans, LES bourgeois, LES urbains, LES agriculteurs, LES lesbiennes, LES enfants difficiles, LES trisomiques, LES gens du voyage, LES bobos, LES métrosexuels, LES prostituées, LES blacks, LES immigrés de seconde génération, LES transsexuels, LES africains, LES marseillais, LES étrangers, LES cadres….

- Tu es quoi toi ?
- Laisse moi respirer…

mardi 31 juillet 2007

PUTES INSOUMISES


"NI PUTES NI SOUMISES" est un mouvement de défense et de libération des femmes ... De toutes les femmes ?

" … NI SOUMISE » on comprend bien et on adhère à 300%, mais "NI PUTES" qu’est ce que ça signifie ? C'est quoi une "pute" pour NP NS ?

La "pute salope" ? : celle qui met des mini jupe, des décolletés ? Celle qui cherche simplement à allumer ou qui veut « tirer son coup » ? Bref celle qui a un type de sexualité qu’on attribue généralement aux hommes qualifié de "tombeurs", "don juan". Quand c’est une femme, c'est une "pute", une "salope". L H O O Q. Elle a certainement un "problème liée à son enfance" ou un "problème hormonal". Pour le mouvement NP NS cette femme là fait partie des ni "quelque chose". C’est une mauvaise femme ? une "sous femme" ? Elle n’a pas le droit de baiser comme un homme ? La femme a autant le droit de consommer des hommes que les hommes consomment des femmes. Non ?

La « pute pute» ? : par choix ou par contrainte matérielle, elle se prostitue. C’est son droit. C'est son droit de ne pas se prostituer et elle doit être protégée si on la force. Mais si elle choisit de le faire, elle a le droit au même respect que.. je ne sais pas moi... Claire CHAZAL ou Fadela AMARA. Si deux personnes consentent à un rapport sexuel, marchand, il n'y a aucune raison que la loi, l'Etat, la société, viennent y mettre leur grain de sel.

Où est la « libération », quand des femmes sont "niées" par l’association qui est censée les libérer ?

Alors vive les putes insoumises…

Lectures conseillées : "King Kong théorie" de Virgnie DESPENTES - "Qu'avons nous fait de la révolution sexuelle" de Marcela IACUB - "Fières d'être putes" de Maîtresse NIKITA (NB : les auteurs de ces ouvrages sont toutes de sexe fémin - sauf le dernier dont le sexe est indéterminé)

lundi 30 juillet 2007

ENTREPRISE CITOYENNE


En couverture, des visages souriants, un panel représentatif de couleurs de peau, type "black blanc beur". Un point commun: les dents sont alignées et aucun défaut majeur. Ca ressemble beaucpoup à une publicité pour les pulls italiens.
C’est le rapport annuel « ENTREPRISE CITOYENNE» (à prononcer avec le sourire).
Des valeurs humanistes affichées (« diversity spirit »), des principes déontologiques ("égalité de chance à compétence égale"), de bonnes intentions (« donner des chances aux différentes générations »), des ratios percutants ("taux de personnel féminin"). Les femmes sont majoritaires parmi les employés et minoritaires parmi l’encadrement. Mais il y a une "volonté de rééquilibrage" (ouf !). Aux Etats-Unis, il y même une communauté pour le "respect des choix de la vie".

Au sein de cette même entreprise, un suicide - réussi - il y a quelques mois avec un motif sans ambiguïté. Des cas de harcèlement moral, hélas comme partout. Des objectifs de plus en plus ambitieux – impossibles à réaliser. Une pression croissante. Des structures hiérarchiques tentaculaires. Des cadres – supérieurs, surtout par la rémunération – qui font travailler les autres et qui s’approprient leur résultat… comme partout, comme dans toutes les « Entreprises citoyennes »…

Ecart abyssal et monstrueux entre le discours et la réalité. Qui a encore la naîveté de croire au discours d'entreprise ? ACTION: éviter d'être con, surtout ne pas croire à tout ce qu'on nous dit. Même si - surtout si - les photos sont belles et si la formulation semble convaincante.

dimanche 29 juillet 2007

CRIMES: DES PENDAISONS DANS L'INDIFFERENCE DE L'ETE

Sortir du rang c’est aussi nommer les assasins, parler des crimes et surtout ceux dont on ne parle jamais. Celui qui est au courant des massacres mais qui ne parle pas devient collaborateur. Alors "parler" n’évitera peut être pas les prochains crimes, mais se taire n’est pas possible. Une prise de conscience collective et un travail efficace de pression médiatique PEUT faire plier les assassins. Pour ne pas dire « je ne savais pas», merci de lire les articles suivants et d’en parler, de le faire savoir par tous les moyens possibles :


http://www.iran-resist.org/article3647


http://www.iran-resist.org/article3621

INTRODUCTION

A travers ce blog, je souhaite partager quelques idées pour « FAIRE LE SAUT EN DEHORS DE LA RANGEE DES ASSASSINS » (Kafka)
Assassins ? Ceux qui par conformisme idéologique et comportemental assassinent les possibilités de changement, d’évolution et de révolution. Cette pensée réactionnaire qui empêche toute possibilité de changement.
Le saut est ce mouvement vital qui permet de passer de l’état de mouton – mouton assassin donc – à celui d’être humain. Etre humain c’est à dire créateur de sa propre vie et élément actif de l’évolution de la société, du monde.
Evolution vers quoi ? : + de liberté, + de respect, + de plaisir , + de partage.
Chaque individu a une responsabilité immense. Faire le saut c'est comprendre le monde. Nous sommes tous soumis à la gravité mais nous avons des forces internes pour nous tenir debout, alors :
Rester dans le rang ou en sortir ?

Lecture recommandée : "Les Outils" de Leslie KAPLAN